10 TIPS DE PRIERE

10 JOURS OU 10 SUJETS DE PRIERE

1 – GARDE MON COEUR

Il m’étonne toujours celui-là. Je crois le connaître parce qu’il est censé être ce que j’ai de plus intime. Et pourtant… il arrive encore à me surprendre…

2 – REMPLIS-MOI DE TON AMOUR

On est parti une semaine, une toute petite semaine. Mais voilà, certaines de mes plantes, à peine rempotées, n’ont pas supporté. Elles ont desséché…

3 – REMPLIS-MOI DE TON ESPRIT

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai refusé de mentir. Je ne voulais pas de cet héritage-là, même s’il devait parfois me sauver la mise.

4 – AIDE-MOI A ME REVETIR D’HUMILITE

Mais, c’est quoi au juste l’humilité parce qu’on n’en parle pas beaucoup autour de nous?

5 – FAIS DE MOI UNE SERVANTE

Qui aime servir plutôt que de se faire servir ? A choisir entre servir ou être servi, qu’est-ce que je choisirai ? Servir le repas aux autres ou me mettre derrière la table pour être servie, avec des gants blancs ?

6 – UN COEUR RECONNAISSANT

C’est chaque matin que je choisis l’ambiance que je vais donner à ma journée, à mon entourage, à mes circonstances, à ma vie…

7- GARDE MA LANGUE


J’ai lu que c’était le muscle le plus rapide du corps. Le plus rapide en quoi, on ne l’a pas précisé, mais je sais qu’il est rapide comme l’éclair, ce muscle-là, ou plutôt « elle », la langue…


8 – DONNE-MOI DE LA SAGESSE ET DU DISCERNEMENT

J’ai des fois, comme ça, où je crois être sage et avec du recul je me rends compte que j’ai plutôt été… ridicule !!!

9 – ENSEIGNE-MOI LA CRAINTE DE L’ETERNEL

La peur, c’est notre instinct fondamental de conservation qui se manifeste. C’est une réaction spontanée et instinctive à une menace contre notre vie, la réponse à un danger réel ou présumé : du danger le plus grand qui est celui de la mort aux dangers particuliers qui menacent notre tranquillité, notre sécurité physique ou notre monde affectif…

10 – AIDE-MOI A MARCHER PAR LA FOI ET NON PAR LA VUE

Jusque-là, je croyais, je ressentais, j’étais convaincue. Et parce que ça venait du plus profond de moi, je pensais que je croyais juste, je ressentais juste et j’étais convaincue que j’avais raison, que j’avais la vérité. Bien sûr, puisque je le ressentais